Le logement social – un incontournable à la lutte à la pauvreté


Détails de l'événement


Activité gratuite – Inscription obligatoire ICI

L’objectif sera de préciser le concept de logement social et le caractère incontournable dans la lutte à la pauvreté. Aussi les enjeux liés afin de doter nos villes et villages d’un nombre adéquat de logement social. Aussi, une présentation résumée de qui fait problème au niveau des divers gouvernements.

« Au Québec entre 2005 et 2015, les prix des loyers ont augmenté (27 %) beaucoup plus rapidement que les revenus (8,9 %). «Aujourd’hui, un ménage locataire sur trois doit consacrer plus de 30 % de ses revenus à se loger, au détriment d’autres besoins essentiels, comme se nourrir, se vêtir, se soigner et s’instruire»… » (Stephan Corriveau, Réseau québécois des OSBL d’habitation, 2015)

Parmi les éléments présents dans la problématique on se doit de parler du phénomène de la « réno-viction », des RBNB et autres entreprises dites, à tort, « d’économie de partage » sont des facteurs créer la reraté de logements abordables disponibles.

Le FRAPRU, le RECLAQ, CRACH, ne désespèrent pas de faire entendre raison aux gouvernements de l’importance d’augmenter le rythme de la construction de logements sociaux.

Avoir un toit constitue la base d’un environnement de vie propice à la stabilité
Comment pouvez-vous penser à vous trouver un emploi quand vous ne savez même pas où vous dormirez?  De plus, l’un des constats qu’a mis en évidence le campement de la rue Notre-Dame, est que la précarité de certains emplois diminue la capacité de se loger adéquatement…

La soirée sera animé par Marc Alarie  ofm (Coordonnateur MTC Région de Montréal)

Et un(e) représentant(e) du RECLAQ (Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec)

MTC (Mouvement des travailleuses et travailleurs Chrétiens du Québec) : ce mouvement actif dans plusieurs pays dans le monde, fait partie de l’action catholique. Les membres portent plusieurs préoccupations et engagements citoyens autour du thème : Terre – Toit – Travail. C’est trois axes interreliés pointent la défense des droits humains : le droit d’avoir un lieu, une terre nourricière où l’on peut y vivre et s’y épanouir; le droit à un toit pour y habiter sécuritairement; le droit d’avoir accès à un travail permettant de subvenir à ces  besoins de bases afin de vivre dignement. Les membres se rencontre une fois par mois afin de faire une révision de vie à partir de faits vécus.